Avec plus de 56 000 étudiants, et près de 3 200 enseignants-chercheurs et chercheurs, l’université de Bordeaux est aujourd’hui l’une des plus grandes universités françaises. Reconnue pour la qualité de ses enseignements et son exigence scientifique, elle est un acteur de premier plan de l’enseignement supérieur et de la recherche au niveau régional et national.
Elle cultive une offre de formation diversifiée, du DUT au doctorat, avec comme souci constant de préparer aujourd’hui les citoyens de demain.
Le croisement permanent des regards, des disciplines et des approches irrigue la politique de recherche, ambitieuse et exigeante, de l’université de Bordeaux.
Labellisée Initiative d’excellence, elle se positionne parmi les grandes universités européennes de recherche. Ses chercheurs, investis dans des collaborations fructueuses que ce soit avec de prestigieux établissements à l’international ou des industriels de premier plan, contribuent aux avancées scientifiques, à leur transfert technologique et industriel et, d’une manière générale, à la diffusion du savoir.
Des initiatives, promues notamment par le FMI et la Banque mondiale, tentent de stimuler les appétits des investisseurs privés pour les « green bonds ».
Il y a un an, l’UE adoptait un document novateur : la Boussole stratégique. Si ce texte n’a pas instauré une politique de défense commune, il s’agit d’un pas dans cette direction.
Les prévisions des producteurs d’information constituent des indicateurs avancés des crises qui peuvent survenir. La complexité des activités bancaires complique toutefois leur tâche.
Les exportations des vins les plus réputés battent tous les records tandis que les viticulteurs positionnés dans l’entrée de gamme arrachent leurs vignes faute de pouvoir écouler leur production.
Jérôme Santolini, Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEA) and Océane Martin, Université de Bordeaux
La question des liens entre additifs nitrés dans la viande transformée et cancers fait débat depuis plusieurs années. Retour sur les conclusions, claires, du dernier rapport d’expertise de l’Anses.
Dans le débat sur la fin de vie, ceux qui seraient amenés à mettre en œuvre l'aide active à mourir ne doivent pas être oubliés. Une clause de conscience spécifique pourrait-elle être instaurée ?
Si le sexisme ou les discriminations contre les personnes LGBTQI ressortent avec force dans les enquêtes, une étude récente montre que la question du racisme est celle qui augmente le plus régulièrement.
Le poids économique de la filière alcool reste difficile à évaluer : plusieurs externalités, positives comme le prestige international ou négatives comme le coût social, ne sont pas prises en compte.
Au-delà du manque d’offres de soin, notamment dans les « déserts médicaux », diverses raisons expliquent que certains renoncent à se soigner. Mieux les identifier permet d’améliorer la santé publique.
Le concept de démocratie illibérale est couramment utilisé pour décrire des régimes qui seraient à la frontière entre démocratie et autoritarisme. Ce concept souffre pourtant d’incohérences majeures…
Les ordinateurs les plus puissants du monde permettent de s’attaquer à des problèmes très complexes, comme le fonctionnement du cœur… et ses dysfonctionnements.
Pour ce second volet, le réalisateur Ryan Coogler renforce sa proposition géopolitique alternative, en mettant à l’avant-scène deux nations non-occidentales pour mieux « provincialiser » le Nord.
Screen addiction is already a household term, but is there any scientific basis for this phenomenon? We take a look at the methods used to measure it and its actual hold on the population.
Aucun trouble n’est aussi stigmatisé que le trouble mental. Pour comprendre l’origine de ce rejet lourd de conséquences pour les individus touchés, et le dépasser, un rappel historique est nécessaire…
« Addiction aux écrans… » L'expression est passée dans le langage courant, mais le phénomène est-il bien établi scientifiquement ? Voici comment il est mesuré et son emprise réelle dans la population.
Doctorant contractuel en droit public au CRDEI (Université de Bordeaux); Doctorant en droit international associé à la Chaire NEME (Université Laval), Université de Bordeaux
Doctorant en Sciences et Techniques des Activités Physiques et Sportives à l'Université de Bordeaux et en Sciences des Religions à l'Université Laval, Université de Bordeaux